Dès que l’enfant est capable de raisonner, et donc de croire, on lui montre déjà qu’il y a un ciel: un lieu commode où aller pour faciliter la mort. Cet empressement d’un but à atteindre finit par éveiller, très tôt dans la vie, l’instinct de la fuite. Le jour où il se surprend à marcher sans but, il panique, et se trouve un lieu à atteindre, de peur que ce «sans but» se change en enfer.
Dès que l’enfant est capable de raisonner, et donc de croire, on lui montre déjà qu’il y a un ciel: un lieu commode où aller pour faciliter la mort. Cet empressement d’un but à atteindre finit par éveiller, très tôt dans la vie, l’instinct de la fuite. Le jour où il se surprend à marcher sans but, il panique, et se trouve un lieu à atteindre, de peur que ce «sans but» se change en enfer.
Dès que l’enfant est capable de raisonner, et donc de croire, on lui montre déjà qu’il y a un ciel: un lieu commode où aller pour faciliter la mort. Cet empressement d’un but à atteindre finit par éveiller, très tôt dans la vie, l’instinct de la fuite. Le jour où il se surprend à marcher sans but, il panique, et se trouve un lieu à atteindre, de peur que ce «sans but» se change en enfer.