Le plaisir d’apprendre n’arrive pas le premier jour. Celui qui éprouve la frustration devant les rudiments d’un apprentissage s’étonnera quand même, s’il persévère, de voir arriver la jouissance bien assez vite, en tout cas plus vite que le découragement, arrivé avant elle, mais sans ampleur. Le découragement de l’apprenti est un état presque routinier. C’est comme un creux de vallée pour qu’en s’y logeant la jouissance se consolide, devienne une drogue dont l’apprenti ne peut plus se passer, et cette drogue le rend invincible. Où se situerait l’ennemi dans tout ça? Nulle part. L’ennemi est ce qui naît du rien quand il ne se passe rien.
Le plaisir d’apprendre n’arrive pas le premier jour. Celui qui éprouve la frustration devant les rudiments d’un apprentissage s’étonnera quand même, s’il persévère, de voir arriver la jouissance bien assez vite, en tout cas plus vite que le découragement, arrivé avant elle, mais sans ampleur. Le découragement de l’apprenti est un état presque routinier. C’est comme un creux de vallée pour qu’en s’y logeant la jouissance se consolide, devienne une drogue dont l’apprenti ne peut plus se passer, et cette drogue le rend invincible. Où se situerait l’ennemi dans tout ça? Nulle part. L’ennemi est ce qui naît du rien quand il ne se passe rien.
Le plaisir d’apprendre n’arrive pas le premier jour. Celui qui éprouve la frustration devant les rudiments d’un apprentissage s’étonnera quand même, s’il persévère, de voir arriver la jouissance bien assez vite, en tout cas plus vite que le découragement, arrivé avant elle, mais sans ampleur. Le découragement de l’apprenti est un état presque routinier. C’est comme un creux de vallée pour qu’en s’y logeant la jouissance se consolide, devienne une drogue dont l’apprenti ne peut plus se passer, et cette drogue le rend invincible. Où se situerait l’ennemi dans tout ça? Nulle part. L’ennemi est ce qui naît du rien quand il ne se passe rien.