L’ennemi se tient debout près d’un saule. Il m’attend. Il a fait de moi son fantôme. Dans son parc, j’aimerais bien qu’il puisse dire de moi que je le hante. Entre nous, la confrontation sera d’autant plus retentissante que nous ne nous connaissons pas, sinon que par nos conquêtes et par le nombre de trophées que le passé nous attribue. Il a assiégé plus de cités que moi. Si j’arrive à le vaincre, lui, mort, fera en sorte que je serai son égal d’ici peu de temps, et que je l’aurai surpassé dans quelques années. Mais si je me délecte à l’avance d’un combat où le plus fort d’entre nous anéantira l’autre, je dois souffrir au préalable de l’attente de l’heure et du lieu où nos courages seront au rendez-vous.
L’ennemi se tient debout près d’un saule. Il m’attend. Il a fait de moi son fantôme. Dans son parc, j’aimerais bien qu’il puisse dire de moi que je le hante. Entre nous, la confrontation sera d’autant plus retentissante que nous ne nous connaissons pas, sinon que par nos conquêtes et par le nombre de trophées que le passé nous attribue. Il a assiégé plus de cités que moi. Si j’arrive à le vaincre, lui, mort, fera en sorte que je serai son égal d’ici peu de temps, et que je l’aurai surpassé dans quelques années. Mais si je me délecte à l’avance d’un combat où le plus fort d’entre nous anéantira l’autre, je dois souffrir au préalable de l’attente de l’heure et du lieu où nos courages seront au rendez-vous.
L’ennemi se tient debout près d’un saule. Il m’attend. Il a fait de moi son fantôme. Dans son parc, j’aimerais bien qu’il puisse dire de moi que je le hante. Entre nous, la confrontation sera d’autant plus retentissante que nous ne nous connaissons pas, sinon que par nos conquêtes et par le nombre de trophées que le passé nous attribue. Il a assiégé plus de cités que moi. Si j’arrive à le vaincre, lui, mort, fera en sorte que je serai son égal d’ici peu de temps, et que je l’aurai surpassé dans quelques années. Mais si je me délecte à l’avance d’un combat où le plus fort d’entre nous anéantira l’autre, je dois souffrir au préalable de l’attente de l’heure et du lieu où nos courages seront au rendez-vous.