Très peu pour moi, ce genre de critique à la mode qui ne se mouille jamais. Comptez le nombre de fois que la critique dans les journaux qualifie d’ambitieux un roman sans dire si c’est un bon livre ou un navet. Il se dégage une impression négative de ces adjectifs qui ne veulent rien dire. Ils sortent du pétrin n’importe quel journaliste qui ne veut pas dire le fond de sa pensée, ou qui, tout simplement, n’a pas lu le livre pour lequel il est payé pour nous en parler.
Très peu pour moi, ce genre de critique à la mode qui ne se mouille jamais. Comptez le nombre de fois que la critique dans les journaux qualifie d’ambitieux un roman sans dire si c’est un bon livre ou un navet. Il se dégage une impression négative de ces adjectifs qui ne veulent rien dire. Ils sortent du pétrin n’importe quel journaliste qui ne veut pas dire le fond de sa pensée, ou qui, tout simplement, n’a pas lu le livre pour lequel il est payé pour nous en parler.
Très peu pour moi, ce genre de critique à la mode qui ne se mouille jamais. Comptez le nombre de fois que la critique dans les journaux qualifie d’ambitieux un roman sans dire si c’est un bon livre ou un navet. Il se dégage une impression négative de ces adjectifs qui ne veulent rien dire. Ils sortent du pétrin n’importe quel journaliste qui ne veut pas dire le fond de sa pensée, ou qui, tout simplement, n’a pas lu le livre pour lequel il est payé pour nous en parler.