Vous parlez de fleurs dans la maison de la souffrance: ma tête. Prise sur les rives tétanisées de l’enfer. Voyez-le tout blanc, sans feu, sans torche, sans allumettes. La lividité des roches et des glaciers semble si lointaine à se saisir d’une vie quelconque qu’il paraît n’y avoir plus jamais de saisons. Visitez le printemps des autres. Le soleil d’ici est un assemblage de plomb, qui recule dans la portion du ciel où nous sommes, battant de l’aile, incapables de rêver, incapables d’aller.
Vous parlez de fleurs dans la maison de la souffrance: ma tête. Prise sur les rives tétanisées de l’enfer. Voyez-le tout blanc, sans feu, sans torche, sans allumettes. La lividité des roches et des glaciers semble si lointaine à se saisir d’une vie quelconque qu’il paraît n’y avoir plus jamais de saisons. Visitez le printemps des autres. Le soleil d’ici est un assemblage de plomb, qui recule dans la portion du ciel où nous sommes, battant de l’aile, incapables de rêver, incapables d’aller.
Vous parlez de fleurs dans la maison de la souffrance: ma tête. Prise sur les rives tétanisées de l’enfer. Voyez-le tout blanc, sans feu, sans torche, sans allumettes. La lividité des roches et des glaciers semble si lointaine à se saisir d’une vie quelconque qu’il paraît n’y avoir plus jamais de saisons. Visitez le printemps des autres. Le soleil d’ici est un assemblage de plomb, qui recule dans la portion du ciel où nous sommes, battant de l’aile, incapables de rêver, incapables d’aller.