Les images de Barbe-Bleue nous font toujours entrevoir l’après de ce que notre sensibilité peut percevoir au présent. C’est pourquoi les instruments de la torture ne sont pas visibles, les fleurs du jardin secret sont blanches d’un blanc assassin, né de la jalousie après la victoire de la chlorophylle. Aussi, à la toute fin, les femmes mortes vivent tranquillement dans un cachot dans une position d’éternité qui fait penser, par le clignements de leurs paupières, à l’apparence d’une agonie éphémère. Nous sommes passés à un temps supérieur à celui théoriquement évalué de l’éternité.
Les images de Barbe-Bleue nous font toujours entrevoir l’après de ce que notre sensibilité peut percevoir au présent. C’est pourquoi les instruments de la torture ne sont pas visibles, les fleurs du jardin secret sont blanches d’un blanc assassin, né de la jalousie après la victoire de la chlorophylle. Aussi, à la toute fin, les femmes mortes vivent tranquillement dans un cachot dans une position d’éternité qui fait penser, par le clignements de leurs paupières, à l’apparence d’une agonie éphémère. Nous sommes passés à un temps supérieur à celui théoriquement évalué de l’éternité.
Les images de Barbe-Bleue nous font toujours entrevoir l’après de ce que notre sensibilité peut percevoir au présent. C’est pourquoi les instruments de la torture ne sont pas visibles, les fleurs du jardin secret sont blanches d’un blanc assassin, né de la jalousie après la victoire de la chlorophylle. Aussi, à la toute fin, les femmes mortes vivent tranquillement dans un cachot dans une position d’éternité qui fait penser, par le clignements de leurs paupières, à l’apparence d’une agonie éphémère. Nous sommes passés à un temps supérieur à celui théoriquement évalué de l’éternité.