C’est un monde effréné qui demande toujours à ce qu’on soit arrivé avant de l’être. Le moment de la traversée ne compte pas. Les hommes plongent pour aller hors de l’eau au plus vite, ils ne plongent pas pour le plaisir de plonger. L’heure du repas: on la savoure entre deux parties d’une journée maussade, des parties que l’on fuit, mais si tout va bien, qui se donne la peine de s’arrêter pour manger? On prend un substitut.
C’est un monde effréné qui demande toujours à ce qu’on soit arrivé avant de l’être. Le moment de la traversée ne compte pas. Les hommes plongent pour aller hors de l’eau au plus vite, ils ne plongent pas pour le plaisir de plonger. L’heure du repas: on la savoure entre deux parties d’une journée maussade, des parties que l’on fuit, mais si tout va bien, qui se donne la peine de s’arrêter pour manger? On prend un substitut.
C’est un monde effréné qui demande toujours à ce qu’on soit arrivé avant de l’être. Le moment de la traversée ne compte pas. Les hommes plongent pour aller hors de l’eau au plus vite, ils ne plongent pas pour le plaisir de plonger. L’heure du repas: on la savoure entre deux parties d’une journée maussade, des parties que l’on fuit, mais si tout va bien, qui se donne la peine de s’arrêter pour manger? On prend un substitut.