Je me réfère à Richard Hoggart qui écrivait dans le journal "Le Monde" de 1971: "Toute dissidence ne mobilise jamais qu'une minorité, ce qui ne l'empêche pas de concerner chacun de nous." J'ajoute aussi que notre propre culture deviendra une prison si nous ne réussissons pas à la dominer, à devenir d'une certaine manière privés de toute culture, internationaux.

 

Être écrivaine russe ou américaine ou espagnole ou chinoise veut seulement dire que nous traduisons nos états d'âme. Le malheur est que, contrairement au langage de l'amour, celui de mon métier ne peut se passer de langue qui malheureusement appauvrit la personne qui s'exprimerait si bien de l'intérieur.

 

Je me réfère à Richard Hoggart qui écrivait dans le journal "Le Monde" de 1971: "Toute dissidence ne mobilise jamais qu'une minorité, ce qui ne l'empêche pas de concerner chacun de nous." J'ajoute aussi que notre propre culture deviendra une prison si nous ne réussissons pas à la dominer, à devenir d'une certaine manière privés de toute culture, internationaux.

 

Être écrivaine russe ou américaine ou espagnole ou chinoise veut seulement dire que nous traduisons nos états d'âme. Le malheur est que, contrairement au langage de l'amour, celui de mon métier ne peut se passer de langue qui malheureusement appauvrit la personne qui s'exprimerait si bien de l'intérieur.

 

Je me réfère à Richard Hoggart qui écrivait dans le journal "Le Monde" de 1971: "Toute dissidence ne mobilise jamais qu'une minorité, ce qui ne l'empêche pas de concerner chacun de nous." J'ajoute aussi que notre propre culture deviendra une prison si nous ne réussissons pas à la dominer, à devenir d'une certaine manière privés de toute culture, internationaux.

 

Être écrivaine russe ou américaine ou espagnole ou chinoise veut seulement dire que nous traduisons nos états d'âme. Le malheur est que, contrairement au langage de l'amour, celui de mon métier ne peut se passer de langue qui malheureusement appauvrit la personne qui s'exprimerait si bien de l'intérieur.