─ L’homme et son double, tiens tiens… et comme par hasard, vous l’évoquez en pleine période de transition. Est-ce l’hiver polaire de cette nuit passée qui vous invite à cette chauffante métaphore? Je l’aurais bien cherché par la fenêtre au réveil, mais comme disait le grand neurasthénique : ma vitre ce matin était «un jardin de givre»...
─ En espérant que vous ne rajoutiez pas «la douleur que j’ai-que j’ai» mais en effet nos vitres ce matin ne nous permettraient pas de voir quiconque arriver même s’il décidait de se décupler au lieu de se dédoubler! Je retourne à mes orchidées, on fait les jardins qu’on peut, à l’époque de l’année qui le veut.
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─ L’homme et son double, tiens tiens… et comme par hasard, vous l’évoquez en pleine période de transition. Est-ce l’hiver polaire de cette nuit passée qui vous invite à cette chauffante métaphore? Je l’aurais bien cherché par la fenêtre au réveil, mais comme disait le grand neurasthénique : ma vitre ce matin était «un jardin de givre»...
─ En espérant que vous ne rajoutiez pas «la douleur que j’ai-que j’ai» mais en effet nos vitres ce matin ne nous permettraient pas de voir quiconque arriver même s’il décidait de se décupler au lieu de se dédoubler! Je retourne à mes orchidées, on fait les jardins qu’on peut, à l’époque de l’année qui le veut.
─ L’homme et son double, tiens tiens… et comme par hasard, vous l’évoquez en pleine période de transition. Est-ce l’hiver polaire de cette nuit passée qui vous invite à cette chauffante métaphore? Je l’aurais bien cherché par la fenêtre au réveil, mais comme disait le grand neurasthénique : ma vitre ce matin était «un jardin de givre»...
─ En espérant que vous ne rajoutiez pas «la douleur que j’ai-que j’ai» mais en effet nos vitres ce matin ne nous permettraient pas de voir quiconque arriver même s’il décidait de se décupler au lieu de se dédoubler! Je retourne à mes orchidées, on fait les jardins qu’on peut, à l’époque de l’année qui le veut.