Mise à jour 15 août 2018

 

(Mois précédents)

 

Une action héroïque pour moi ça demeure une action héroïque. Les gens n’osent pas trop s’impliquer aujourd’hui c’est chacun pour soi alors on se donne bonne conscience à dire que le bonheur est dans les petites choses, le bien est dans les petits actes qui ne coûtent rien, le progrès est dans les petits gestes qui consistent à jeter nos petits papiers au recyclage et les restes d’aliments dans le compost et qu’un sourire embellit la vie de quelqu’un. Après on s’étonne d’avoir une petite vie, un petit salaire, une petite santé et un petit coin pendant que ceux qui ont compris les rouages du système mènent une grande vie. À lire vos commentaires, je me sens ridiculement petit, autant que vous autres.

 

(Lunapark)

Dure, dure, la vie des médias. Depuis le 15 juillet, la sécheresse n'est pas que dans les doléances météorologiques. Il fait chaud, oui, bon, on le sait, qu'à cela ne tienne. Faute de mieux, chaque bulletin de soirée s'ouvre sur la catastrophe de l'humidex. Depuis trente jours sans exception. Ah, peut-être qu'en désespoir de cause, les coyotes ont tenté de voler la une, sans grand résultat. Puis on s'est essayé à deux ou trois scandales (Hobden, Patrick Ouellet, oubliés dans l'heure) pour donner un peu plus de chair aux nouvelles. Mais rien sinon. Alors on est allé voir les Français jouer du klaxon dans le Plateau, on s'est questionné sur la difficulté des sans-abris quand il fait si chaud, sur la vie de quartier et ses irritants, problèmes universels à défaut d'être des scoop internationaux, sans attentat, sans coup d'éclat, en attendant que l'été passe.

Coupe du monde 2018

 

Allez-les-bleus!

 

On est les champions!

Nouveaux inscrits: reconduits au premier septembre pour l'ouverture du MaraisDeep.com

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Une action héroïque pour moi ça demeure une action héroïque. Les gens n’osent pas trop s’impliquer aujourd’hui c’est chacun pour soi alors on se donne bonne conscience à dire que le bonheur est dans les petites choses, le bien est dans les petits actes qui ne coûtent rien, le progrès est dans les petits gestes qui consistent à jeter nos petits papiers au recyclage et les restes d’aliments dans le compost et qu’un sourire embellit la vie de quelqu’un. Après on s’étonne d’avoir une petite vie, un petit salaire, une petite santé et un petit coin pendant que ceux qui ont compris les rouages du système mènent une grande vie. À lire vos commentaires, je me sens ridiculement petit, autant que vous autres.

 

(Lunapark)

Dure, dure, la vie des médias. Depuis le 15 juillet, la sécheresse n'est pas que dans les doléances météorologiques. Il fait chaud, oui, bon, on le sait, qu'à cela ne tienne. Faute de mieux, chaque bulletin de soirée s'ouvre sur la catastrophe de l'humidex. Depuis trente jours sans exception. Ah, peut-être qu'en désespoir de cause, les coyotes ont tenté de voler la une, sans grand résultat. Puis on s'est essayé à deux ou trois scandales (Hobden, Patrick Ouellet, oubliés dans l'heure) pour donner un peu plus de chair aux nouvelles. Mais rien sinon. Alors on est allé voir les Français jouer du klaxon dans le Plateau, on s'est questionné sur la difficulté des sans-abris quand il fait si chaud, sur la vie de quartier et ses irritants, problèmes universels à défaut d'être des scoop  internationaux, sans attentat, sans coup d'éclat, en attendant que l'été passe.

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Dure, dure, la vie des médias. Depuis le 15 juillet, la sécheresse n'est pas que dans les doléances météorologiques. Il fait chaud, oui, bon, on le sait, qu'à cela ne tienne. Faute de mieux, chaque bulletin de soirée s'ouvre sur la catastrophe de l'humidex. Depuis trente jours sans exception. Ah, peut-être qu'en désespoir de cause, les coyotes ont tenté de voler la une, sans grand résultat. Puis on s'est essayé à deux ou trois scandales (Hobden, Patrick Ouellet, oubliés dans l'heure) pour donner un peu plus de chair aux nouvelles. Mais rien sinon. Alors on est allé voir les Français jouer du klaxon dans le Plateau, on s'est questionné sur la difficulté des sans-abris quand il fait si chaud, sur la vie de quartier et ses irritants, problèmes universels à défaut d'être des scoop  internationaux, sans attentat, sans coup d'éclat, en attendant que l'été passe.

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