Je descends sans emprunter d’escalier ni d’ascenseur. L’abstraction de l’espace me fait aller dans la mouvance de mes sentiments sans que ceux-ci ne soient rattachés à des êtres humains tangibles ou des objectifs financiers, des motivations avalées par le concret. Souvent dans la vie on se demande pourquoi nous passons tant de temps à gérer le solide, alors qu’un simple séjour au pays de l’abstraction nous donne des réponses apaisantes mais qu’on ne peut pas traduire avec des mots, seulement qu’avec des états.
Je descends sans emprunter d’escalier ni d’ascenseur. L’abstraction de l’espace me fait aller dans la mouvance de mes sentiments sans que ceux-ci ne soient rattachés à des êtres humains tangibles ou des objectifs financiers, des motivations avalées par le concret. Souvent dans la vie on se demande pourquoi nous passons tant de temps à gérer le solide, alors qu’un simple séjour au pays de l’abstraction nous donne des réponses apaisantes mais qu’on ne peut pas traduire avec des mots, seulement qu’avec des états.
Je descends sans emprunter d’escalier ni d’ascenseur. L’abstraction de l’espace me fait aller dans la mouvance de mes sentiments sans que ceux-ci ne soient rattachés à des êtres humains tangibles ou des objectifs financiers, des motivations avalées par le concret. Souvent dans la vie on se demande pourquoi nous passons tant de temps à gérer le solide, alors qu’un simple séjour au pays de l’abstraction nous donne des réponses apaisantes mais qu’on ne peut pas traduire avec des mots, seulement qu’avec des états.